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Stop aux kilos émotionnels!
Avez-vous tendance à grignoter ou à vous jeter sur la nourriture à la moindre contrariété ou à l’annonce d’une bonne nouvelle ?
Vous vous reconnaîtrez très certainement dans cette phrase: « quand je suis stressé, je mange!« … Ou bien: « quand je suis triste, je mange »… Et même: « quand je suis content, je mange »…
Vous êtes peut-être ce que l’on appelle un « mangeur émotionnel »…
- Est-ce grave?
- Pourquoi d’ailleurs mange t’on de manière « émotionnelle »?
- Existe t’il des solutions?
- Comment s’en libérer?
Bonne nouvelle: VOUS N’ETES PAS SEUL!
Sur les forums, et les réseaux sociaux, de nombreuses personnes reconnaissent également « manger sans faim »! Elles ont remarqué que manger était souvent lié à leurs émotions: dans des moments de doutes, de stress, de tristesses, et même dans les moments de bonheur!
Ce qui explique pourquoi beaucoup de personnes prennent facilement des kilos, ce fameux effet « yoyo »… et pas n’importe lesquels : des kilos dits émotionnels.
Les kilos émotionnels sont-ils synonymes de perte de contrôle ou un manque de volonté?
Et bien non selon les scientifiques! C’est plutôt une affaire de neuromédiateurs et d’hormones!
Grâce à ces découvertes, on peut différencier la prise de poids purement physiologique, de celle dite « émotionnelle ». En clair, une prise de poids n’est pas toujours la conséquence d’une mauvaise diététique ou alimentation, mais également liée à des facteurs émotionnels.
Ces émotions peuvent pousser à trop manger, ou à mal manger. Des études ont également montré qu’il y a des personnes qui ne vont pas augmenter leur apport calorique mais qui pourtant vont grossir!
Mais alors, comment expliquer ces phénomènes ?
Les émotions produites par notre cerveau, vont influencer les neuromédiateurs de l’humeur, qui eux-mêmes vont agir sur les hormones de l’appétit.
Il y a par exemple des hormones qui ouvrent l’appétit, comme la ghréline, et d’autres qui la coupent, comme l’obestatine.
Les émotions qui agissent sur nos hormones peuvent être négatives comme positives.
- Par exemple, il y a la colère, l’ennui, l’anxiété ou encore les idées noires: « A chaque fois que l’on veut éviter de penser, on mange. C’est comme un animal qui rumine. Tout ce qui favorise les ruminations mentales peut influer sur des ruminations alimentaires, comme un réflexe ou une technique d’évitement« .
- De l’autre, le soulagement, la fierté ou encore la joie : dans ce cas, c’est souvent que « l’on a été habitué à ce que l’amour passe par les aliments. Donc à chaque fois que l’on est bien, on a le réflexe de grignoter« .
Quand les émotions prennent le dessus, certains aliments vont avoir tendance à nous attirer plus que d’autres : c’est ce que l’on appelle des aliments doudou. Les spécialistes affirment que ce sont les aliments qui nous renvoient à l’enfance, comme un besoin de régression, de revenir au temps où l’on se sentait protégé et consolé par ses parents. On remplace finalement les parents par ces aliments.
La relation à la nourriture et l’affection se fait dès la naissance. Un nouveau-né associe le lait (donc la nourriture), à la notion de plaisir et en même temps à la notion d’apaisement. On a donc, à l’age adulte, encore une sorte de réflexe pré-programmé en utilisant la nourriture comme « système d’autosatisfaction ».
Mais comment se libérer de ce réflexe ?
La bonne nouvelle est qu’il n’y pas de régime fastidieux et frustrant à entreprendre!
Une démarche de réflexion sur soi (introspection) est nécessaire. En clair, pour perdre ces kilos il faut dans un premier temps identifier la cause, puis travailler dessus, ce qui permet de ne plus répéter le même schéma.
Côté nutrition, il ne s’agit pas d’entraîner une restriction alimentaire, au risque d’aggraver les pulsions. Il faut conserver trois repas équilibrés par jour, accompagné d’une collation.
Côté émotionnel, un suivi par un professionnel peut être utile, pour permettre un réel travail sur soi:
- une écoute attentive de ses ressentis
- une réflexion sur ses attentes
- identifier des facteurs limitants
- retracer un « historique émotionnel »
Une fois les causes identifiées, il convient de mettre en place un réflexe d’association de « sources de plaisir » autres qu’alimentaires.
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A très bientôt